dimanche 12 octobre 2014

Le latin, cette langue étrange




 




     On a beau s'accrocher à son Gaffiot comme à une bouée de sauvetage, on a beau souligner, entourer, surligner les "nec", les "ut" et les "ita" dans l'espoir d'apercevoir enfin la structure de la phrase, parfois le sens échappe.
     Inéluctablement.
     Et on ne peut s'empêcher de songer qu'au fond de leur tombe, Sénèque, Tite-Live ou même Cicéron, doivent bien se marrer devant des efforts si pitoyables.

2 commentaires:

  1. Et bien, j'ai bien fait d'arrêter le latin, moi !

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  2. Je râle beaucoup, mais au fond, c'est cool... Quand je comprends... ;)

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